Jean- Yves GRANGE

Nous vous adressons nos sincères condoléances depuis le Sri Lanka. Les 8300 km qui nous séparent, notre absence, l’impossibilité de se voir et d’être prêts de vous, ne nous empêchent pas de penser fort à vous tous. Jean-Yves est absent, crée un vide, et pourtant tellement présent dans les souvenirs et les moments partagés. Restent la communication des âmes, la communication du cœur.

Je tiens à adresser mes sincères condoléances. Je sais qu’il comptait pour vous et c’est pour cela que mes pensées vous accompagnent dans cette épreuve…
Je suis là si vous avez besoin de parler ou simplement de présence…

Bien à vous

Guillaume

Coucou Papi, c’est Anne-Sophie


Je souhaitais t’écrire ces courtes lignes afin de t’exprimer d’abord mon chagrin suite à ton départ ; mais surtout pour me remémorer des moments de vie d’enfance que j’ai eu la chance de partager à tes côtés.

Je me souviens de nos moments à Vieux-Boucau avec Mamie, Papa, Maman, Justine et Charly. Je me souviens de nos balades nocturnes à vélo, de nos sorties à la plage pour ramasser des coquillages et faire des châteaux de sables.

Je me souviens du chalet où nous passions beaucoup de moments ensemble notamment lors de nos périodes scolaires avec Justine. À moi et à ma sœur, tu nous avais fabriqué un arc et une épée en bois car tu savais que nous aimions beaucoup jouer ensemble dans ton jardin. Je me souviens des balades en forêt aux Halles, on s’amusait à caresser les chevaux dans les prés.

Je me souviens de la série télévisée Zorro que l’on regardait ensemble dans le salon du chalet où l’on passait de long moments à rigoler à deux.



Ton départ me cause beaucoup de peine. Je vais garder à l’esprit et dans mon cœur tout ces passages de vie heureux que nous avons pu avoir ensemble.



Je n’oublierai jamais tout ces précieux moments de vie avec toi.

Je ne t’oublierai jamais.